mercredi 7 décembre 2011
mardi 1 novembre 2011
/ Et j'ai rendez-vous avec ma vie.
Modèle . Cecile, danseuse de talent.
Texte , 31 octobre.
Et j'ai ce mal en moi.
Je ne m'en défait pas.Je ne suis qu'un éclat de verre.
Et je sombre, chaque jour un peu plus.
Je m'enfonce. Je ne suis rien. Une particule. J'ai l'impression
d'm'égosiller à crier dans une pièce pleine de bruit. Vous me
fatiguez. On ressort les vielles photos. Poignard. Je. Tu. Il. Elle. Nous sommes d’éternels incompréhensibles.
Et parfois j'me perds. Je deviens
quelqu'un d'autre. J'ai des projets. J'veux changer l'monde, un peu
comme Steve Jobs. Et j'redescends. Tu es une richesse, and I'm Lucky.
Les mots s'envolent. Silence. Eteins la
lumière et ouvre la fenêtre. Seule. Bouquet d'émotions futiles. Et
je vis. Je te respire. Je t'offre une effluve de mon parfum. Enferme
moi dans une boite.
Je rêve. Et un jour, un jour,
tout s'éclairera. Je ne serai plus cet éclat de verre, je ne serai
plus qu'une simple particule, plus un pantin. Ce jour là,
j'existerai, pour de vrai.
lundi 17 octobre 2011
Garance/Morgane
Premier plan, Morgane Desportes
Second plan, Garrance Desportes.
Texte d'octobre, Atelier d'écriture. M.
Je
ne me lasse pas. Je ne me lasse pas de me remémorer tes traits. Tes
courbes. Je vois tout. J'aperçois des images. Et tu m'apparait,
telle un songe, la nuit, ou le jour, puisqu'il faut que le soleil se
lève. Et je suis désormais au delà des mots, au delà de toute
forme de langage. Je me tais. Voleuse, tu dérobes mes mots, capture
et emprisonne mes discours. Je ne suis plus qu'un être inanimé, ton
pantin. Pinnochio n'a qu'à bien se tenir. Ellipse . Tes lèvres. Ta
douceur. Tes mains. Toi. Tes yeux sombres, ou clairs, éternels
fossés où plus d'un sont tombés. Je ne tomberait pas. Le temps
file, emporte tout. Et puis merde, je me casse la gueule.
Je
suis vide. Je suis vide mais emplie d'un saccageur et douloureux
désir de toi. Je te bois. Je suis folle, je crois. Tu me tues. Je
respire encore.
Démon.
Pourrais
tu t'éclipser ? T'envoler, disparaître, partir, t'effacer ,
t'éloigner ? Va t'en !
Va
t'en. Va t'en.
Non,
tu restes. T'es là, omniprésente, et ma terrible existence ne
semble se résumer qu'à toi. Je ne suis plus rien. I'm nothing,
pour les bilingues. Je suis folle, je crois. Et je me perds dans de
vaines espérances. T'attendre. Toujours t'attendre. La vie est un
putain de jeu. M'aimeras tu? Précipice.
Ton
odeur. Tes gestes. Tes complexes. Je suis folle, je crois.
Et
je te dirais bien que je t'aime, mais ce mot a perdu tout sens, il
est creux, sans odeur, sans âme, sans texture. Et moi je t'aime avec
mes cinq sens. Le diable, tu es le diable.
Je
suis folle, je crois.
lundi 3 octobre 2011
mercredi 31 août 2011
dimanche 15 mai 2011
samedi 19 février 2011
dimanche 6 février 2011
Paris, la nuit.
Paris, la nuit. Ses odeurs, ses sensations. Paris la nuit, ses musiciens, ses violons et ses notes. Paris, la nuit, ses accordéons, ses lumières. Paris s'éteint, mais ne meurt jamais. Paris s'endort. Paris la nuit, son vent, sa fraicheur. Paris emprisonne- moi, force- moi à rester dans le creux de tes bras.
Paris la nuit, sa douceur, sa mélancolie.
mercredi 5 janvier 2011
Inscription à :
Articles (Atom)